Une soignante suspendue témoigne de son quotidien difficile.
- ELMS
- 6 févr. 2022
- 12 min de lecture
Lynsée Baloji est une professionnelle de santé très consciencieuse et appliquée depuis sa prise de poste au CHU de la Guadeloupe. La jeune femme a vu son quotidien bouleversé lorsque le Gouvernement a décrété l’obligation vaccinale pour les soignants et toutes les personnes travaillant auprès d’un public. Aujourd’hui, l’attachée de recherche clinique à la direction de la recherche clinique du CHU, fait partie de ce dernier carré d’irréductibles qui continuent le combat contre l’obligation vaccinale le 5 août 2021. Suspendue depuis le 21 octobre 2021, elle doit faire face à des difficultés d’ordre financières. Elle nous raconte son combat qui impacte sa vie familiale.

C’est sans doute la grève la plus longue que la Guadeloupe vit actuellement. Depuis le 17 juillet 2021, l’archipel français des Caraïbes connaît une mobilisation sans précédent. En effet, depuis huit mois, chaque samedi, la Guadeloupe vit aux rythmes de la grève décrétée par le Collectif des syndicats à la tête duquel l’UGTG. Chaque semaine, ils sont plusieurs centaines voire des milliers à arpenter les rues des principales villes et communes pour dire “ non” à l’obligation vaccinale.
Face au silence des élus locaux et mais surtout, face à la fermeté du Gouvernement, la grève générale a été décrétée en novembre 2021 par les syndicats. Ainsi, les manifestations qui étaient à l’origine pacifiques, ce sont durcies et, elles ont laissé place à des barrages routiers, des violences urbaines émaillées par des affrontements entre bandes de jeunes et les forces de l’ordre dont une grande majorité sont venues de l’Hexagone pour renforcer les effectifs de la police locale. De plus, les principales figures syndicales locales ont presque toutes été arrêtées et sont pour la plupart en attente d’un procès. Les jours, les semaines et les mois passent et pourtant aucune des parties ne semblent vouloir lâcher prise. Loin la souffrance des soignants est telle que certains soignants, acculés financièrement finissent par abandonner la lutte. Seuls restent une poignée (non négligeable) d’irréductibles qui entendent poursuivre la mobilisation jusqu’à la victoire. Parmi eux, nous avons rencontré Lynsée Baloji, attachée de recherche clinique à la Direction de la recherche clinique du CHU.
Depuis sa prise de poste, la chercheuse a toujours été consciencieuse et appliquée. Elle n’a jamais manqué un seul jour de travail. Pourtant, la jeune femme a vu son quotidien bouleversé lorsque le Gouvernement a décrété l’obligation vaccinale. Suspendue depuis le 21 octobre 2021, elle doit faire face à des difficultés d’ordre financières qui perturbent son quotidien familial. Malgré tout, l’attachée de recherche clinique fait partie de celles et ceux qui constituent le dernier carré d’irréductibles qui continuent le combat contre l’obligation vaccinale. Elle nous raconte son combat contre le diktat vaccinal et sa vie désormais consacrée à cette lutte.
The Link Fwi : Bonjour, Lynsée Baloji, pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs et lectrices ? Quel poste occupez-vous au CHU ?
Lynsée Baloji : Bonjour, tout d’abord merci de me donner la parole. Merci de vous préoccupez du cas des soignants suspendus. Je suis donc Lynsée Baloji, je suis attachée de recherche clinique à la Direction de la Recherche Clinique du CHU de la Guadeloupe. J’ai été formé pour le contrôle de la qualité clinique. On va dire que je travaille plus dans la surveillance épidémiologique des patients diabétiques et en insuffisance rénale. Depuis le 21 octobre 2021, je ne travaille plus car, je suis suspendue.
TLFWI : Justement, pourquoi êtes-vous suspendue ?
Lynsée Baloji : Je suis suspendue car tout simplement, je ne remplis pas les critères demandés. A savoir la vaccination contre la Covid-19. Je refuse de me faire vacciner et c’est la raison pour laquelle, je ne peux pas retrouver mon poste au CHU.
The Link Fwi : La question pourrait paraître bète, mais, pourquoi refusez-vous la vaccination ?
Lynsée Baloji : Avant tout, sachez que je ne suis pas la seule. A ce jour, quatre autres attachés de recherche sont également suspendus. Mon refus repose sur le fait que, sur le plan scientifique, nous ne sommes pas convaincus du bien-fondé de la vaccination. Par ailleurs, nous sommes encore moins convaincus du plan éthique et moral de cette vaccination sur laquelle compte le Gouvernement.
TLFWI : Vous êtes contre, ça on n'en disconvient pas, mais qu’est-ce qui ne vous convainc pas au sujet de cette vaccination ?
Lynsée Baloji : Là où je peux intervenir, c’est au niveau du processus. Lorsque nous analysons les faits, la pandémie a été déclarée en début 2020, plus précisément en janvier 2020. La France a été touchée à peu près à cette période. Puis, dans un délai assez court, on nous a proposé un vaccin en décembre 2020. Sauf que, nous savons que pour réaliser un vaccin efficace et qui présente des données de sécurité pour les patients et qu’il ne présente aucun effet indésirable, il faut dix ans. La première question que nous nous posons est assez simple, “ comment en dix mois, soit de janvier 2020 à décembre 2020 on peut préparer un vaccin qui soit à la fois fiable et qui ne présente aucune complication pour les patients ? “ Deuxièmement, on sait qu’il existe des thérapies qui fonctionnent et déjà utilisées dans d’autres pays et pourtant, en France, le Gouvernement refuse que les médecins les utilisent. Ainsi, si nous sommes sur la santé, il y a quelque chose de pas logique dans cette situation puisque l’on met de côté toutes les thérapies alternatives qui sont efficaces et peu couteuses. Or, dans un même temps, le Gouvernement déclare depuis plusieurs années avoir les caisses vides. La logique voudrait qu’il mette l’accent sur ces thérapies peu couteuses et déjà maitrisées. Les médecins connaissent très bien l’Ivermectine, l’Hydroxychloroquine ou encore l’Azithromycine, des produits connus et qui ont fait leurs preuves. Nous savons également que la Covid-19 atteint plus particulièrement les personnes qui sont fragiles, immunodéprimés ou encore les personnes âgées, de ce fait, ce virus, est loin d’être aussi dangereux qu’on nous le décrit. Il n’est ni comme la peste et encore moins comme le choléra, donc il ne représente pas un danger. Ainsi, pour une épidémie de ce type, ( type grippe), la démarche scientifique à adopter est avant tout de protéger les personnes les plus fragiles. Si on prend l’exemple de la Grippe, ils ont réalisé un vaccin qui a pris un certain nombre d’années. Le temps protocolaire requis avant d’être administré. On présente donc ce vaccin de la grippe aux personnes qui sont âgées. Du coup, les enfants et encore moins les personnels hospitaliers n’ont nul besoin de ce vaccin. Concernant son efficacité, on peut se poser des questions, car, quand on voit que l’on nous présente ce produit et qu’il ne nous empêche nullement de contracter le virus ni de le transmettre, excusez-moi mais, on peut avoir des doutes sur la question de son efficacité. Puis, la “ fameuse” immunité collective par la vaccination qu’ils nous vantent, se révèle être un leurre voire même inatteignable, parce que même entre personnes vaccinées, le virus circule. Encore une fois, sur le plan scientifique, nous avons du mal à comprendre la logique.
Si maintenant, ce vaccin n’empêche pas la transmission mais limite les formes graves, il devrait donc servir à protéger les personnes les plus fragiles. Cela devrait donc être une question individuelle et non être imposé. Autre chose que j’aimerais aborder, c’est l’identité du laboratoire qui a quand même plus quarante chefs d’accusation. Est-ce normal que dans une crise sanitaire de cette ampleur que le responsable de la santé au sein du Gouvernement fasse des affaires à un laboratoire qui est connu pour ses malversations notamment ses nombreuses falsifications de données, ses nombreux pots de vin, ses essais cliniques en Afrique.

The Link Fwi : Tout ce que vous énoncé, est-ce avéré ? Ne propagez-vous pas ce nombreuses fausses informations qui sont légions sur la toile ?
Lynsée Baloji : Oui, je ne m’avance pas comme ça. Si vous allez sur le site du Parlement européen, vous verrez qu’il y a eu des personnes qui ont essayé de faire valoir ces arguments mais ils n’ont pas été retenus alors que tout est avéré. Je pose une question simple “ Si vous avez un enfant, que vous voulez sortir, allez-vous le faire garder par quelqu’un qui a été condamné pour pédophilie ? “ “ Si vous devez placer votre argent, allez-vous le mettre chez un banquier qui est véreux ? Ou chez un expert en escroquerie ? Alors pourquoi, aujourd’hui, on nous demande de faire confiance à un laboratoire qui a un passif ? La santé est quand même quelque chose d’important, on ne doit pas badiner avec elle. On ne peut pas avoir 100% confiance et je dirais que la confiance n’exclut en rien le contrôle et toutes les questions que nous posons sur le plan scientifique sont à chaque fois sans réponse. Des questions qui sont pourtant simples : “ Comment avez-vous fait pour préparer un vaccin en moins de dix mois ? “ pas de réponse. “ Pourquoi le brevet de la constitution de ce vaccin n’est pas levé “ là encore, nous sommes sans réponse. En plus, il s’agit d’une nouvelle technologie, il faut donc s’assurer que les personnes à qui on a administré ce produit, ne soient pas en danger. Il y a aucune prise de précaution allant dans ce sens. Par ailleurs, je tiens à rappeler que de par mon métier, j’ai accès à des dossiers et je peux vous affirmer que j’ai vu une liste d’effets indésirables dont on ne nous parle pas.
Evidemment, je ne parle même pas de la notion de consentement qui est bafouée. Je rappelle, qu’à ce jour, nous sommes encore dans un essai clinique à ciel ouvert. Puis, toute expérimentation présente des risques et dans ce cas présent, on ne peut forcer des personnes à se vacciner. A ce niveau, on parle de consentement. Si nous sommes à ce stade et que l’on veuille mettre une obligation dans une expérimentation, là, nous ne sommes plus dans de la science. De plus, cela devrait nous interpeller car, l’un des socles sur le plan législatif qui vient en quelque sorte protéger les patients, à savoir le Code de Nuremberg qui dit que le consentement doit être obligatoire, libre et éclairé. Aujourd’hui, nous avons des personnes qui se sont faites vacciner mais on sait qu’elles ont été influencées voire menacées par leurs supérieurs mais elles n’ont pas eu toutes les informations nécessaires sur ce vaccin. Elles ne savent donc pas si elles sont en phase 1, en phase 2 ou encore en phase 3 des essais cliniques. Pire encore, elles n’ont aucun suivi médical. Elles n’ont aucune information sur les effets indésirables alors que nous sommes dans une expérimentation. C’est totalement irresponsable sur le plan scientifique de faire cela. Du coup, je suis vraiment choqué et je resterai sur ma position.
TLFWI : Si on comprend vos propos, il n’y aurait aucune information, rien ne serait clair ? Il y aurait un problème de transparence sur cette vaccination ?
Lynsée Baloji : Il y a un vrai problème de transparence, voyons. Me concernant, les études auxquelles j’ai participé, quand on faisait tester des produits actifs, il y avait toujours un suivi : à trois mois, six mois, neuf mois, un an etc avec une liste d’examens, avec des bilans sanguins, des radios, des échographies pour vérifier les réactions car si on ne prend pas le temps de faire tous les prélèvements comment saurons-nous les effets indésirables qu’il peut y avoir ? C’est comme si on piquait les gens sans se soucier de ce que cela peut provoquer dans leurs organismes et on ne fait pas le nécessaire de recueillir ces données au cas où il y aurait une mise sur le marché. D’ailleurs, il faut savoir que pour une AMM ( mise sur le marché) normalement, il faut dix ans. De plus, en Guadeloupe comme en Martinique , nous sommes une population touchée par le chlordécone, donc nous avons des particularités physiologiques. Il y a notamment un empoisonnement de notre sang, donc nous ne connaissons pas les conséquences de cette vaccination. Puis, la technologie ARN en elle-même, on ne la maitrise pas encore bien. Or depuis deux ans, des données remontent sur les effets de l’ARN messager, c’est le cas du Japon qui a alerté sur plusieurs décès de jeunes hommes morts des suites du myocardites ou péricardites. J’ai aussi noté dans mon dossier, des paralysies faciales, des syndromes de Guillain Barré et d’autres choses bien plus graves que je n’aborderais pas car, je suis tenu au secret professionnel...
The Link Fwi : Vous voulez dire que dans votre laboratoire, vous avez répertorié ces problèmes, en faisant des analyses ?
Lynsée Baloji : Oui. J’ai moi-même recueilli les données. La dernière mission que j’ai eu à mener c’était de recueillir le nombre de personnes qui étaient vaccinées et celles qui avaient été infectées par la Covid après avoir été vaccinées. Pour pouvoir renseigner ces données-là, il me fallait les récupérer dans les dossiers médicaux dans lesquels on retrouve des patients qui ont eu des effets indésirables. Ces éléments ne sont pas retenus par la direction.

TLFWI : Selon vous, pourquoi elles ne le sont pas ?
Lynsée Baloji : Telle est la question. Il semblerait que l’objectif soit de piquer à tout va et à mon avis, c’est un non-sens. Je pense que jen ne vous cache rien. Dans le cadre de la recherche clinique. Quand il y a des essais, la recherche est soit financée par le Gouvernement soit par des laboratoires pharmaceutiques...
The Link Fwi : Si on va dans votre sens, vous pensez qu’il y a des conflits d’intérêts entre Etat et les laboratoires ?
Lynsée Baloji : Il y a conflit d’intérêts. Il faut savoir que plus l’essai clinique est important évidemment plus les sommes d’argent alloués pour ces recherches, sont importantes. Après, je ne veux pas blâmer tout le monde vu les pressions que certains subissent....
TLFWI : Des médecins et chercheurs locaux sont aussi concernés ? Au niveau local, il y a de la pression ?
Lynsée Baloji : Oui. Il y a beaucoup de personnes qui se sont vaccinées par pour des convictions scientifiques. Certains l’ont fait pour leur “ liberté”, d’autres pour conserver leur emploi, d’autres encore pour ne pas être incriminés d’avoir contaminé leurs patients en service, mais en ce qui concerne en Guadeloupe, il n’y a pas de recueils de données sur les effets de la vaccination sur les personnes qui ont été vaccinées.
The Link Fwi : Vous êtes non-vacciné, conséquence vous êtes suspendu, c’est d’ailleurs l’objet de cette interview, quel est votre quotidien depuis cette suspension ?
Lynsée Baloji : Alors mon quotidien. Pour ne rien vous cacher, il est difficile. J’ai dû modifier un certain nombre de choses pour m’adapter à ma nouvelle vie de suspendue et donc faire face aux charges qui bien entendu, ne sont pas suspendues. Du coup, ma deuxième fille ne va plus à la crèche. Je dois donc m’organiser tous les jours afin de pouvoir m’occuper d’elle. Heureusement que j’ai ma mère qui m’aide dans le cadre de la gestion de la garde des enfants. Mon mari et moi avons dû nous séparer d’une de nos voitures. Pour vous avouer, c’est une véritable complication de fonctionner avec une seule voiture, surtout quand on a des enfants et que l’on a des choses différentes à gérer. De ce fait le matin, on doit s’organiser dès le réveil. Sinon, on est sur le piquet, malgré les difficultés, on essaie de réconforter les autres qui craquent émotionnellement.
TLFWI : Du coup au niveau de vos dépenses personnelles, vu que vous êtes suspendue, donc vous n’avez pas de salaire, aucune entrée d’argent. Comment faites-vous ?
Lynsée Baloji : Quand on vit cette situation, on découvre des choses qui touchent. On développe de vrais liens de solidarité. Il y a des personnes qui prennent l’initiative de faire des courses pour nous grévistes, ça nous aide vraiment. Je sais aussi qu’il y a une cagnotte Leetchi pour les personnes suspendues. On bénéficie de dons provenant de membres de nos familles, de simples citoyens, des amis et même des communautés spirituelles. Les gens nous aident en fonction de leurs moyens évidemment.
The Link Fwi : Quelles sont vos attentes ? Pensez-vous qu’un jour l’Etat soit prêt à négocier ?
Lynsée Baloji : Je ne pense pas que l’Etat soit prêt à négocier avec nous. Je peux comprendre, vu la complexité de l’affaire. Depuis plusieurs semaines voire quelques mois, la Guadeloupe est sous le feu des projecteurs, concernant son opposition à la politique vaccinale nationale. Si vous voulez les moindres avantages qui pourraient être accordés aux Antilles-Françaises, à mon avis, feraient comme un effet boules de neige sur les autres territoires de l’Hexagone. C’est sans doute l’une des raisons qui fait que l’Etat ne semble pas disposer à dialoguer. Cependant, nous concernant, nous grévistes nous restons fermes sur notre volonté. A savoir, la suppression de l’obligation vaccinale. On a confiance dans le fait que les données scientifiques soient de plus en plus simples. Peut-on maintenir une obligation vaccinale quand on sait que l’efficacité de cette vaccination est totalement remise en cause. Aujourd’hui, un collectif de citoyens, de médecins et Conseils scientifiques se lèvent aussi de plus en plus, pour dénoncer la situation actuelle. La vérité est déjà en train d’être révélée au grand jour. Plus les consciences vont être éclairées, plus la population va, je l’espère réagir et donc, à un moment donné, il faudra se positionner. On nous parle de discussions. Récemment, à l’hôpital on nous a parlé d’un entretien pédagogique d’écoute de conseils de la santé et de l’autonomie et, ils nous proposent de discuter mais surtout, de nous convaincre du bien-fondé de la vaccination, pour que l’on puisse réintégrer nos postes. Effectivement, ça nous désole un peu car, dans ces mobilisations, il y a des médecins, des infirmiers(ières), autant de personnes dont on a besoin en Guadeloupe mais surtout, nous sommes personnes qui savons ce que nous disons donc que vont-ils nous dire ? Que vont-ils nous expliquer ? Comment fabriquer un vaccin ? Qu’est-ce qu’un virus ? Ce sont des choses que nous savons déjà, vu les postes que nous occupons. Je trouve que nous expliquer comme des enfants les bienfaits d’un vaccin, est un peu insultant. Sur le plan de la raison, ils n’ont rien à nous apprendre. C’est limite un mépris.
Autre fait, pour le personnel soignant, on propose une reconversion. Vous imaginez la souffrance, pour toutes les personnes qui effectuent leur travail depuis quinze ans, vingt ans ? Du jour au lendemain, elles le perdent et, elles sont obligées d’aller trouver un nouvel emploi. Le contexte de l’obligation vaccinale a commencé avec les soignants mais au final, quand on voit le déroulement des événements, elle intéresse tous les secteurs d’activité et nous concerne tous. A quoi bon apprendre un autre métier si, nous allons être de nouveau confrontés à cette situation. Pour le moment, nous sommes dans une spirale, donc nous attendons d’avoir une réponse en aillant recours à la justice, mais aussi aux voies syndicales et que la vérité émerge un jour et qu’elle nous donne raison. Voilà.
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