L'Ouragan Irma aura causé sur son passage que de la désolation. Alors que l'aide commence a arrivé dans les îles du Nord, c'est Miami qui a retenu notre attention tant la scène est digne des meilleurs films de Science-Fiction apocalyptique du genre 2012. Arbres déracinés, grues effondrées, quartiers inondés, ville submergée. La belle et reluisante MIAMI connue pour être une destination touristique, ses gratte-ciel, ses plages où de jolies américaines en string bronzent,n'est plus que l'ombre d'elle-même.
L'Ouragan Irma aura causé sur son passage que de la désolation. Alors que l'aide commence a arrivé dans les îles du Nord, et que l'ouragan avait baissé d'intensité, cela n'a pourtant pas épargné la 4e ville des Etats-Unis : Miami qui a retenu notre attention tant la scène est digne des meilleurs films de Science-Fiction apocalyptique du genre 2012. Arbres déracinés, grues effondrées, quartiers inondés, ville submergée. La belle et reluisante MIAMI connue pour être une destination touristique, ses gratte-ciel, ses plages où de jolies américaines en string bronzent,n'est plus que l'ombre d'elle-même comme en témoignent les images que nous avons pu récupérer.
Le bilan provisoire de l’ouragan faisait état de 3 morts sur le sol américain, après avoir tué au moins 27 personnes dans les Caraïbes. Deux voitures sont entrées en collision dans le comté de Hardee, tuant les conducteurs sur le coup. Sous l’effet des vents violents, un homme a également perdu le contrôle de son véhicule dans l’archipel des Keys. Si ces chiffres devaient se confirmer dans les jours à venir, l’ouragan de ce week-end pourrait avoir été bien moins meurtrier que d’autres de taille similaire ayant traversé la Floride par le passé. A titre de comparaison, quelque 400 personnes avaient péri lors de l’ouragan de 1926 et 44 autres avaient trouvé la mort lors de l’ouragan Andrew, en 1992.
Mis à part un bilan humain dérisoire, c'est au niveau matériel que les dégâts sont plus importants. Miami Beach a été envahie par les eaux, et sa célèbre plage n’est désormais plus qu’une immense étendue d’algues et de débris. Partout dans la ville, des centaines d’arbres se sont écroulés sous la pression du vent et les rues du quartier d’affaires ont été recouvertes par plusieurs dizaines de centimètres d’eau, envahissant parkings et sous-sols. De nombreuses vitres ont également été soufflées par des vents de plus de 160 km/h et deux grues se sont effondrées.
L'aéroport de Miami, lui aussi touché par les eaux, a été fermé, et ne devrait reprendre qu'un service limité mardi. Donald Trump a déclaré l'état de catastrophe naturelle pour la région.